8 févr. 2012

"Le métissage is everywhere!"


Le métissage désigne le croisement de races dans une même espèce, des variétés différentes.
Synonyme: mélange, brassage, croisement, hybridation.

L'adjectif métis(se) désigne quelque chose issu d'un métissage. Peut être aussi nommé hybride, mulâtre, personne dont les parents sont de couleur de peau différente, de races différentes.
*La toile métisse est une toile faite de coton et de lin.


La notion de métis (qui signifie en latin « mélangé »/« mêlé ») désigne le mélange de deux éléments distincts. Tandis que le métissage est une idée du xixe sièclenote, dont les équivalents en anglais sont celles d'hybridité (hybridity) et de créolisation (creolisation) désigne le mélange des sangs du point de vue racial. Puis la notion de métissage est devenue un concept de marketing intellectuel, culturel et commercialnote employé dans le monde des arts : de la mode à la littérature en passant par les arts plastiques, la musique et le spectacle. Il désigne quelque chose comme le libre mélange des genres, mais aussi sur fond de mélange des couleurs de peau.

Étymologies?

Sur www.jewanda-magazine.com
À partir du xiiie siècle, il désigne le croisement de deux espèces animales ou végétales différentes (un mestis). En 1615 le mot « métice », emprunté au portugais, désigne alors une personne née de parents appartenant à des populations présentant des différences phénotypiques importantes (comme la pigmentation de la peau). Ce terme fut notamment utilisé pour désigner les nombreux descendants de parents européens et « indigènes » issus de la colonisation. Enfin, on parle de métis pour des tissus (ex. toile métisse), des métaux (ex. fer métis), des mots, etc. issus du mélange de deux éléments distincts.

Métissage biologique et métissage culturel.
Le métissage biologique est celui qui naît de l'union d'un père et d'une mère de types physiques et donc vraisemblablement d'origines ethniques distantes. Le métissage culturel correspond, soit à une acculturation (emprunt d'éléments culturels allogènes par des individus appartenant à une culture donnée), soit à la fusion de deux ou plusieurs cultures, indépendamment du mélange des individus qui la composent. Le métissage purement culturel masque souvent le maintien d'une ségrégation raciale. Ainsi, dans les sociétés créoles francophones, les békés d'origine européenne parlent la langue créole sans se mélanger à leurs concitoyens d'origine africaine. De même, on observe dans le sud des États-Unis, une culture commune (accent, cuisine, jazz, allure vestimentaire) partagée entre les rednecks sudistes et les afro-américains descendants d'esclaves, alors que les préjugés raciaux restent très forts. Le métissage culturel peut alors être analysé comme une concession accordée par l'élite dominante à la majorité dominée.

Aspects ethniques et culturels.
Sur www.mahoganies-blog.com
Dans l'imaginaire de nombreux peuples, l'unité ethnique est symbolisée par le sang comme dans l'expression « sang bleu » des nobles français, le métissage est alors considéré comme un mélange de sang, les métis sont des « sang mêlés ». On parle ainsi du « droit du sang » lorsqu'un pays n'accorde la nationalité que lorsqu'un des parents a déjà la nationalité (par opposition au « droit du sol » qui accorde la nationalité aux individus nés dans le pays). La devise de la Légion étrangère est par ailleurs "Étrangers devenus fils de France, non par le sang reçu, mais par le sang versé."
Lorsqu'il y a tension entre des groupes ethniques, il arrive que les métis soient rejetés par leurs deux communautés d'origine. Il en va différemment du métissage culturel qui ouvre souvent de nouvelles possibilités, en particulier dans le domaine artistique, sans présenter le même caractère irréversible que le métissage génétique.
Le métissage des peuples s'accompagne quelquefois d'un métissage culturel dont il résulte de nouveaux modes de vie ou expressions artistiques. Toutefois, les simples échanges culturels, qui peuvent être de nature strictement informelle, ne se définissent pas comme les produits du métissage. Celui-ci procède d'une véritable émulation dont il résulte une nouvelle culture avec ses propres modes d'expression.
On peut citer parmi les régions du monde caractérisées par cette culture métisse les pays d'Amérique latine ou encore les Caraïbes. Le métissage, tant de la culture que des peuples, fait partie intégrante de l'histoire de ces régions et est revendiquée comme une identité culturelle.
Le country-blues, musique très populaire dans l'Amérique rurale, est le produit du métissage entre la musique irlandaise, apportée par les Irlandais fuyant la répression au xixe siècle, et le blues des esclaves noirs américains.

Approche idéologique.
Sur www.paperblog.fr
Avec le développement des idéaux pacifistes, la fin du xxe siècle a été marquée par une forte valorisation du métissage. Il devient un canon de beauté et l'on observe en effet l'élection des premiers top-models métis. Mais aussi, le métissage se forge une identité musicale avec la popularisation de la world music, tandis que la mode vestimentaire connaît une vague du « style ethnique ».
D'un point de vue idéologique, les enjeux sont profondément enracinés dans les débats sur le racisme. Le racialisme, théorie considérée non scientifique par ses détracteurs, subdivisant l'espèce humaine en races nettement distinctes, nomme métisse une personne dont les parents sont de races différentes. Cette définition était appliquée dans certains pays effectuant un classement officiel de leurs ressortissants en termes de race, par exemple l'Afrique du Sud à l'époque de l'apartheid. Aux États-Unis, en revanche, même si les parents appartiennent à des classifications ethniques différentes (Hispanic, Caucasian, Asian, Chinese, Japanese, Italian, African American), les enfants étaient rattachés à une seule de ces catégories dans les questionnaires de recensement. Depuis le Census 2000, les catégories « Multiracial », « Two or more races » et « Other » sont proposées.


Les causes du métissage.
Sur www.peopleinside.fr Christian Lacroix pour Desigual

Le métissage au sens moderne du mot est favorisé par la promiscuité géographique, sociale, culturelle et/ou religieuse d'individus d'origines différentes. Par conséquent, en amont du métissage, il convient de relever le rôle des transports, de l'émancipation de la femme, du multiculturalisme et de la diminution de l'importance des religions communautaires (En revanche, le Catholicisme, de meme qu'il interdisait les mariages consanguins au Moyen-Age, a encouragé le métissage entre Indiens évangelisés et Européens, au Canada et en Amérique du Sud lors de leurs colonisations).
Cependant, une condition déterminante du métissage est le déséquilibre démographique entre les hommes et les femmes. Dès le ve siècle avant notre ère, Hérodote rapporte dans l'Enquête différentes anecdotes relatives aux origines des peuples mixtes. Ainsi, au retour d'une longue expédition guerrière tous les mâles d'une tribu scythe, auraient retrouvé leurs épouses remariées avec leurs esclaves, d'origine étrangère. Le plus souvent cependant, c'est un déséquilibre en sens inverse qui a été à l'origine du métissage. En Amérique du Sud, au xvie siècle, la pénurie évidente de femmes d'origine européenne a amené les conquistadores et les colons à s'unir avec des femmes amérindiennes. Ce n'est qu'à partir du xviie siècle, après que le continent sud américain ait été largement gagné à la culture et au mode de vie européen que des familles complètes d'européens vinrent s'installer en Amérique du Sud pour y former l'essentiel du fonds européen des populations d'Amérique du sud. Un phénomène analogue se serait produit au Québec et en Louisiane avec les trappeurs franco-indiens précédant l'installation des familles originaires du Poitou et de Normandie. Ainsi, l'Amérique métisse est antérieure à l'Amérique blanche. En outre, il est curieux d'observer que ceux qui se proclament aujourd'hui "Américains" sont les derniers à s'être installés sur le continent. Les descendants des immigrés Anglo-protestants ont en effet peuplé l'Amérique après les Amérindiens, après les Conquistadors latins, et même parfois après les esclaves noirs importés d'Afrique. Paradoxalement, ce sont eux qui se font aujourd'hui appeler "Américain", comme s'ils étaient les propriétaires légitimes de ce continent.
Les grandes métropoles contemporaines accueillent une plus forte proportion d'hommes d'origine étrangère, expatriés ou immigrés, ce qui n'augmente en rien les chances d'unions transnationales et d'unions interraciales si une intégration sociologique et culturelle préalable des immigrés n'a lieu.


Le métissage culturel
Le métissage culturel désigne le mélange d'influences culturelles distinctes au niveau musical, pictural, sculptural, vestimentaire, et linguistique.
Le métissage culturel ne correspond pas forcément au métissage « génétique » ainsi que le jazz métissé ; ainsi, par exemple, un orchestre entièrement et « réellement » polonais, intégrant des influences orientalisantes ou africaines, dans un cadre musical slave, développerait une culture musicale métissée.
On pourrait conclure que tout comme au niveau « génétique », la totalité des ensembles culturels est métissée, même si au sein de chaque ensemble, on constate bien entendu des dominantes culturelles aisément déterminables. Ainsi, la langue française est constituée en grande partie de racines grecques, grecques « romanisées », latines, arabes, celtes, etc. Certains mots auraient même des racines non-indo-européennes.
La plupart des ethnogenèses démontre que le métissage culturel est qualifiable de « volontaire », c'est-à-dire issu de choix consciemment effectués, en fonction de goûts et d'attirances libres pour des cultures au départ « étrangères ». Une partie du métissage s'effectue inconsciemment, dès lors qu'un métissage "génétique" préexiste à la naissance de l'individu.


Plus dinfos sur fr.wikipedia.org.

Clin d'oeil sur les modèles de Jean Paul Gaultier.


Sur mode.doctissimo.fr
Sur www.lexpress.fr
Sur www.journaldesfemmes.com
Sur www.europe1.fr





"Clin d'oeil sur la mythologie grecque et romaine?"

Qu'est ce que la mythologie?
On appelle mythologie, soit un ensemble de mythes liés à une civilisation, une religion ou un thème particulier, soit l'étude de ces mythes. Les chercheurs qui étudient les mythologies sont appelés « mythologues ».

Comprise comme ensemble de mythes, la notion de mythologie est généralement utilisée pour décrire des ensembles de récits et de figures divines, humaines ou monstrueuses brassés par les systèmes religieux des civilisations anciennes ou de sociétés traditionnelles, éloignées dans l'espace ou dans le temps.

Qu'est ce qu'un mythe?
Un mythe est un récit qui se veut explicatif et surtout fondateur d'une pratique sociale. Il est porté à l'origine par une tradition orale, qui propose une explication pour certains aspects fondamentaux du monde et de la société qui a forgé ou qui véhicule ces mythes :
la création du monde (cosmogonie),
les phénomènes naturels,
le statut de l'être humain, et notamment ses rapports avec le divin, avec la nature, avec les autres individus (d'un autre sexe, d'un autre groupe), etc.
la genèse d'une société humaine et ses relations avec les autres sociétés.

L'étude des mythes est appelée mythologie.

Le terme mythe est souvent employé pour désigner une croyance manifestement erronée au premier abord, mais qui peut se rapporter à des éléments concrets exprimés de façon symbolique1 et partagée par un nombre significatif de personnes.
Le mythe se distingue de la légende (qui suppose quelques faits historiques identifiables), du conte (qui se veut inventif sans expliquer), et du roman (qui "explique" avec peu de fondements).

La Mythologie gréco-romaine?
La majorité des divinités du panthéon romain vient de la Grèce antique et a supplanté les divinités locales (ou « indigètes »), à quelques rares exceptions. Pour cette raison, les articles consacrés aux dieux romains d'origine grecque sont traités avec leur équivalent grec. Rome ayant largement assimilé la culture hellénistique, il est difficile de cerner les croyances des premiers Romains.

La mythologie romaine?
La mythologie romaine est l'ensemble des légendes et des mythes de la Rome antique.
D'origine indo-européenne, la mythologie romaine a emprunté au fil des siècles des conceptions religieuses et culturelles aux pays qui ont été peu à peu intégrés dans la sphère de Rome : la Grèce, l'Égypte, la Syrie, etc. Les Romains se sont appropriés puis ont adapté ces mythologies pour créer un ensemble syncrétique qui se manifeste dans la religion romaine.


Divinités romaines?
Les divinités des premiers Romains (numina) ont rapidement disparu en raison de leur caractère abstrait qui s'oppose à l'anthropomorphisme grec. Malgré l'influence hellénistique, plusieurs divinités locales ont subsisté, notamment dans le culte de Janus, de Saturne, de Quirinus et le culte privé de Vesta ou des dieux Lares.

Janus et Saturne?
Janus est une des seules divinités des premiers Romains ayant subsisté. Profondément lié au mythe de l'âge d'or, Janus serait le roi latin ayant accueilli Saturne lors du règne de celui-ci sur terre. Après la modification du panthéon romain, Janus gardera une place moindre, celle de dieu des ouvertures et des portes et de protecteur de Rome en temps de guerre. Saturne, plus tard assimilé à Cronos (à ne pas confondre avec Chronos dieu du temps), est également honoré durant les Saturnales.

Quirinus?
Dieu archaïque, Quirinus est originellement le protecteur des agriculteurs et, associé à Jupiter et Mars, fait partie de la triade primitive de la mythologie romaine. Il sera plus tard assimilé à Romulus divinisé.

Faunus?
Protecteur des troupeaux contre les loups (d'où son second nom Lupercus), il sera honoré durant les Lupercales jusqu'en 496. On parlera ensuite de faunes, pluralité qui les associera aux satyres grecs et qui assimilera Faunus à Pan.

Culte du foyer?
La plupart des divinités des premiers Romains liées au foyer demeurent dans le culte romain : les Romains vénèrent les Lares et les Pénates, ainsi que les ancêtres morts (mânes). Selon la légende, les Pénates originels proviendraient de Troie. C'est Énée qui, en s'enfuyant avec son père Anchise sur le dos et son fils Iule à la main, les aurait emportés. À Troie, ils avaient, semble-t-il, le même rôle que celui qui leur fut dévolu à Rome. Le culte public de Vesta, plus tard assimilé à Hestia, est également hérité des croyances anciennes (la mère de Romulus et Rémus est une vestale).

Mythes romains?
Rome possède ses propres mythes, souvent liés à sa fondation et à son histoire. Elle assimilera ensuite les mythes grecs mais gardera ses mythes fondateurs au centre de sa culture.


Mythe de l'âge d'or?
La période de l'âge d'or, également appelée "règne de Saturne" est la période durant laquelle Saturne, détrôné par son fils, fut accueilli en Italie par le roi Janus avec qui il partagea le pouvoir. Cette période fut marquée par une prospérité et une équité absolue: les hommes vivaient de cueillette sans avoir à travailler, ne connaissaient pas la guerre et vivaient en harmonie avec les dieux et la nature. Les cultes de Saturne et de Janus viennent de cette légende. Le mythe des races est quant à lui hérité de la culture grecque.

L'Énéide?
Le mythe d'Énée fait partie des légendes de la fondation de Rome. Il décrit le voyage d'Énée depuis sa fuite de Troie jusqu'à son arrivée dans le Latium. Commandée par Auguste à Virgile, l'Énéide a surtout pour but de montrer le caractère divin de Rome et l'ascendance divine de la gens Julia (à laquelle appartient Auguste). La légende donne également à Rome une revanche sur la Grèce en montrant que Troie n'a pas été détruite mais qu'au contraire, les survivants ont fondé une cité puissante capable de l'anéantir. Cette perspective de propagande laisse penser que Virgile a remodelé la légende afin de satisfaire les demandes d'Auguste, mais l'épopée s'appuie d'abord sur la tradition qui donnait pour ancêtres au peuple romain Énée et les derniers Troyens.

Romulus et Rémus?
Cette légende, probablement la plus célèbre de la mythologie romaine et narrée de nombreuses fois par les auteurs latins, est à l'origine des institutions romaines : le meurtre de Rémus par Romulus montre la prédominance de la patrie sur les liens du sang, l'enceinte (pomoerium) de Rome tracée par Romulus, demeurera sacrée (sauf pour les triomphes). La légende donne également une origine divine à Rome, Mars étant le père des jumeaux.

Les légendes de l'histoire de Rome?
Les nombreuses légendes qui entourent l'histoire de Rome consolident de même les institutions romaines. Elles sont racontées aux jeunes romains et constituent la seule littérature enfantine de l'époque. Certaines vantent la virta latine (vertu et courage), ce sont les exempla et d'autres expliquent la fondation de Rome, ce sont les mythes fondateurs. On peut citer parmi les plus célèbres celles de l'enlèvement des Sabines, de Tarpéia (peine de mort pour les traîtres), de Clélie, d'Horatius Coclès et de Mucius Scaevola, de Lucrèce (fin de la royauté à Rome) et celle du combat des Horaces et des Curiaces.

Les Dieux romains?
Angita : déesse de la Guérison et de la Sorcellerie ;
Aurore : déesse de l'aurore ;
Bacchus : dieu de la vigne, de la fête (les Bacchanales) et de l'ivresse ;
Bellone : déesse de la guerre ;
Cerbère : protecteur de la porte des Enfers ;
Cérès : déesse de l'agriculture et de la fertilité ;
Cupidon : dieu de l'amour ;
Cybèle : déesse de la Fécondité (divinité d'origine phrygienne) ;
Diane : déesse de la chasse et de la Lune ;
Discorde : déesse mère de tous les fléaux ;
Esculape : dieu de la médecine ;
Les Faunes : demi-dieux champêtres et forestiers, associés au culte de Dionysos ;
Faunus : dieu des bergers d'Arcadie, divinité de la fécondité, puis incarnation de l'Univers ;
Fama : déesse de la renommée et des ragots ;
Iris : personnification de l'arc-en-ciel ;
Janus : dieu des passages ;
Junon : reine des dieux, protectrice des femmes mariées ;
Jupiter : roi des dieux et dieu du ciel ;
Juventas : déesse de la jeunesse ;
Kerta : Déesse du chaos ;
Latone : Mère de Phébus et de Diane ;
Libitina : déesse des funérailles ;
Luna : déesse de la Lune, associée à Diane ;
Lupercus : dieu des troupeaux ;
Mars : dieu de la guerre, du combat ;
Mater Matuta : déesse marine bienfaisante ;
Mercure : messager des dieux ;
Minerve : déesse des techniques, des combats justes et de la sagesse ;
Neptune : dieu des mers et des océans ;
Orcus : dieu ou messager de la Mort ;
Phébus ou Phoebus :dieu du chant, de la musique, de la poésie, de la purification, de la guérison;de la lumière et du soleil
Pluton : dieu des Enfers ;
Mutinus Mutunus ou Priape : dieu protecteur des vergers et des vignobles, personnification de la virilité ;
Proserpine : reine des Enfers ;
Quirinus : forme divinisée de Romulus ;
Salus : déesse de la santé ;
Saturne : dieu du temps ;
Sol : ancien dieu soleil, équivalent d'Hélios ;
Somnus : dieu du sommeil ;
Sylvain : dieu de la forêt dans la mythologie romaine ;
Tellus : déesse personnifiant la Terre en formation. Elle est l'ancêtre maternel des dieux et de monstres ;
Terra : déesse-mère, personnification de la Terre (équivalent grec Gaïa) ;
Trivia : déesse de la magie (équivalent romain d'Hécate) ;
Uranus : dieu-père, personnification du Ciel ;
Vénus : déesse de la beauté et de l'amour ; Vénus Victrix sa déclinaison "victorieuse"


Vesta : déesse protectrice du foyer ;
Vulcain : dieu du feu et du fer, forgeron des dieux.

Plus d'infos sur fr.wikipedia.orgmythologica.frwww.rome-roma.net.

La mythologie grecque?

La mythologie grecque est la mythologie, c'est-à-dire l'ensemble organisé des mythes, provenant de la Grèce antique. Elle se développe au cours d'une très longue période allant de la civilisation mycénienne jusqu'à la domination romaine.

La rencontre entre les Grecs et les Romains coïncide avec celle de la mythologie grecque et de la mythologie romaine : la première exerce une forte influence sur la seconde, qui ne s'y réduit pas pour autant. Longtemps après la disparition des religions grecque et romaine, la mythologie grecque est utilisée comme sujet d'inspiration par les artistes, et continue à l'être de nos jours.
Sur www.histoiredelart.net
La mythologie grecque nous est parvenue grâce à un vaste ensemble de textes dont les plus anciens sont les épopées d'Homère et les poèmes d'Hésiode, principalement la Théogonie, mais aussi par les arts picturaux comme la céramique. L'ensemble de ces sources présente des généalogies et des récits qui forment un système doté d'une cohérence limitée. Les mythes grecs témoignent de la représentation que les anciens Grecs se faisaient du monde.
Néanmoins, le statut de la mythologie grecque est complexe, car la mythologie dépasse le cadre de la religion. Les personnages et les événements mythiques rapportés par la tradition étaient pour les Grecs, du moins dans leurs grandes lignes, des réalités historiques relevant d'un passé lointain, et servaient donc de base de travail aux historiens antiques. Dans le même temps, la mythologie fournit une ample source d'inspiration à la littérature et aux arts grecs antiques.



Typologie des principaux mythes grecs?
Cosmogonies : la création du monde?

Les Grecs connaissaient plusieurs cosmogonies, c'est-à-dire des récits relatant la naissance et la mise en ordre progressive du cosmos, le monde organisé. Celle que nous connaissons le mieux, car elle nous est parvenue en entier, est celle que compose Hésiode dans la Théogonie et selon laquelle existe (ou apparaît) d'abord le Chaos, puis Éros et Gaïa (Terre), laquelle engendre Ouranos (Ciel), Pontos (Flot marin) et d'autres divinités tandis que Chaos en engendre d'autres, les différentes lignées donnant peu à peu naissance, au fil des générations, à toutes les divinités incarnant les aspects fondamentaux de la nature (Hélios, Séléné), aux divinités souveraines (Cronos puis Zeus), mais aussi à des êtres monstrueux qui sont ensuite éliminés ou enfermés par les dieux ou les héros (la plupart des enfants de Nyx, mais aussi Typhée et sa progéniture).
Hera sur camilleiyigil.blogspot.com 

Mais nous connaissons aussi l'existence d'autres cosmogonies. Au chant XIV de l’Iliade, Héra feint de rendre visite à Océan et Téthys, qu'elle qualifie de « père et mère des dieux », ce qui peut constituer une allusion à une cosmogonie différente où Océan et Téthys seraient les deux divinités originelles. L'orphisme, courant religieux qui se plaçait à l'écart des pratiques traditionnelles du culte et se plaçait sous le patronage du poète mythique Orphée, a développé, au moins à partir de l'époque classique, plusieurs cosmogonies propres à son système de pensée. Nous n'en avons qu'une connaissance lacunaire, mais nous savons qu'elles plaçaient à l'origine du monde la Nuit ou le Temps, qui engendre un œuf qui donne à son tour naissance à Phanès ou bien à Éros. L'orphisme accorde également une place beaucoup plus grande à Dionysos, qui est mis à mort, cuit et mangé par les Titans avant d'être ressuscité. On attribuait aussi une cosmogonie à Musée, un autre poète mythique souvent associé à Orphée. À l'époque archaïque, plusieurs poètes, comme le Crétois Épiménide, le Lacédémonien Alcman ou l'Argien Acousilaos, ainsi que des philosophes présocratiques comme Phérécyde de Syros, composent d'autres cosmogonies.
Les Amoureux célèbres Orphée et Eurydice sur laflaneuse.org

Anthropogonies : la création de l'humanité?

Une anthropogonie (de anthrôpos, « homme », et gonos, « création ») est un récit de l'apparition de l'humanité. Tout comme les Grecs possédaient plusieurs cosmogonies, ils connaissaient plusieurs anthropogonies. Les poèmes mythologiques les mieux conservés restent relativement vagues sur ce sujet. Dans les épopées d'Homère, aucune indication n'est donnée sur les origines de l'humanité, et les dieux ne se sentent pas responsables de l'existence des mortels : ils se contentent de répondre aux manifestations de leur piété, tandis que Zeus exerce les fonctions de juge des mortels et de médiateur entre dieux et mortels. Hésiode, dans la Théogonie, n'explique pas la création des hommes : ils apparaissent dans son poème au moment du partage de Mékôné et de la ruse de Prométhée, récit qui explique surtout les modalités du sacrifice, l'une des pratiques cultuelles fondamentales de la religion grecque. Dans Les Travaux et les Jours, Hésiode relate le mythe des races décrivant plusieurs humanités (plusieurs genos) composées chacune d'un métal différent, la première, la race d'or, remontant au règne de Cronos ; mais son récit a moins pour objet la création de ces humanités que leurs vertus et la dégradation progressive de leurs conditions de vie, ce qui apparente plutôt ce récit aux origines du mythe de l'âge d'or. Il existait par ailleurs une tradition sur l'origine de l'humanité nommée le mythe de l'autochtonie, selon lequel les premiers hommes étaient directement sortis de la terre. Ce mythe était utilisé par les Athéniens, qui s'en servaient à l'époque classique pour justifier leur supériorité sur les autres cités, mais aucune source ne présente clairement de récit selon lequel ce serait toute l'humanité qui aurait été créée de cette façon.
Apollon
Les sources de la mythologie restent donc obscures sur la création des tout premiers hommes, mais la plupart s'accordent sur les noms des ancêtres de l'humanité actuelle : Deucalion et Pyrrha, qui survivent au déluge et font renaître des humains à partir des pierres, comme le rapporte Pindare dans la neuvième Olympique. Mais il s'agit d'une renaissance de l'humanité plutôt que de ses origines premières, et la façon dont les hommes apparaissent avant le déluge de Deucalion est beaucoup moins claire.
Si nous ne possédons pas de récit bien conservé sur l'apparition des hommes, la création de la femme fait l'objet de son propre mythe, celui de Pandore, évoquée par Hésiode dans la Théogonie et Les Travaux et les jours. Dans la Théogonie, Pandore est créée par Zeus pour châtier les hommes après la ruse de Prométhée qui leur a donné le feu. Son nom grec, Pandora, signifie « don de tous les dieux » : Héphaïstos la façonne dans de la terre et chacun des dieux est invité à lui faire présent d'une qualité physique ou d'un vêtement. Mais Pandore est un piège, car, sous sa belle apparence, elle n'apporte que des soucis aux hommes ; dans Les Travaux et les jours, c'est elle qui soulève le couvercle de la jarre où sont gardés maux et maladies et devient responsable de leur propagation dans le monde entier, ce qui explique la condition misérable des hommes. Le mythe de Pandore véhicule l'idéologie misogyne qui était celle de la société grecque antique, mais il représente aussi un changement dans la condition humaine, car l'arrivée de Pandora coïncide avec l'apparition de l'obligation pour les humains de travailler pour vivre, travail et fécondité devenant les deux aspects principaux de la condition humaine contemporaine.

Hercule ou Héraclès
Géographie mythique?
Les divinités et héros de la mythologie grecque évoluent dans le monde réel tel que se le représentaient les Grecs, mais aussi dans plusieurs lieux situés hors du monde ou aux limites du monde, qu'il s'agisse des résidences des divinités ou bien de l'au-delà.

Olympe?

Les divinités grecques les plus importantes résident sur l'Olympe. Cette représentation de l'Olympe comme demeure des divinités olympiennes est déjà très présente dans les principales œuvres poétiques de l'époque archaïque : l’Iliade et l’Odyssée, puis les poèmes d'Hésiode et les Hymnes homériques, œuvres qui influencent durablement la représentation des dieux grecs. L'Olympe où résident les dieux chez Homère et Hésiode est à la fois un lieu réel, le mont Olympe en Grèce du nord, et une demeure céleste située très haut dans le ciel : ces deux représentations coexistent, non sans entraîner quelques hésitations et incohérences de détail, l'essentiel consistant à affirmer une séparation entre cette demeure des dieux et le reste du monde. Mais tous les dieux grecs ne résident pas sur l'Olympe, loin de là : un grand nombre divinités résident sur terre ou dans la mer.

Caractéristiques des dieux grecs?

Ulysse
La caractéristique la plus visible des dieux tels que les Grecs se les représentaient est l'anthropomorphisme : l'apparence physique des dieux, leurs actions et leurs sentiments paraissent très proches de ceux des mortels. Hérodote emploie au sujet des dieux l'adjectif paradoxal anthropophues, « de nature humaine ». Cependant, cet anthropomorphisme et cette proximité entre les dieux et les hommes n'est qu'apparente : comme le montre Françoise Frontisi-Ducroux dans un article du recueil Corps des dieux, la religion grecque ne cesse de mettre en évidence l'écart qui sépare les dieux et les humains. Le corps des dieux est lui-même surhumain : lorsqu'ils sont évoqués dans l'épopée, ils ont une taille gigantesque, un poids colossal ou au contraire impossiblement léger. Dans leur corps coule non pas du sang mais de l'ichor, et les blessures ne mettent pas leur vie en péril puisqu'ils sont immortels. Les dieux ne consomment pas la même nourriture que les mortels : le nectar et l'ambroisie sont leur nourriture d'immortalité. Les épopées d'Homère évoquent aussi une langue des dieux différente de celles des mortels. Ce caractère surhumain est mis en valeur par les matières précieuses utilisées pour les statues, par exemple chryséléphantines.
Si les dieux les plus fameux, les divinités olympiennes, sont anthropomorphes, ce n'est pas le cas de toutes les divinités : les dieux fleuves grecs sont souvent représentés sous la forme de taureaux, et il existait de nombreuses idoles des dieux n'ayant pas l'apparence d'êtres vivants. L'apparence surhumaine des dieux est la manifestation de leur statut supérieur et de leur omnipotence : « les dieux peuvent tout ».

Plus d'infos sur fr.wikipedia.orgduguesclin.free.frwww.grecehotels.commytho.yrub.com.

6 févr. 2012

"Quelques périodes et vocabulaire de l'histoire du costume ?"


La préhistoire?
( période de l'histoire de l'humanité avant l'apparition de l'écriture, vers 3000 ans avant notre ère)


C’est la naissance du  vêtement (à enfiler) grâce aux divers outils fabriqué par  l’Homme pour vivre,dont les os pour la chasse;la teinture pour communiquer ;le tissage pour se protéger ,se couvrir .En manipulant les fibres naturelles ,de nouvelles techniques de tissage  se créent .Le vêtement est simple,assemblé par des aiguilles à chas par un poinçon.

< Poinçon: sorte de couteau pour trancher,perforer une surface
<Aiguilles à chas: assembler un vêtement par des fils (sorte de couture)
<kaunakès: longues bandes horizontales s’enroulant autour du corps composé d’une variété de tissus (fourrure,laine,feutre,peau) superposés.
<ceinture en pagne: pour porter les outils.
<jupe pagne ou robe à manches courtes descendant jusqu'au mollet.

<feutrage, tressage, filage
<fibres végétales puis animales
<s’habiller pour s’approprier les forces des animaux, pour définir un statut social,par pudeur, pour plaire, rôle magico-religieux
<a été influencé par le climat, le mode de vie,le commerce
<a influencé les barbares (capes en pelleteries), les gaulois (deux jambières et porte jarretelle) et la Grèce antique.
Art pariétal (fixe,grotte), mobilier (volume, petit).




La Grèce antique?
Le drapé et le pli sont créer par le frottement des ongles sur te tissu. Ils sont de formes variables et compose un vêtement. Le lin et la laine domine. Les vêtements sont amples, mais légers.

<Jeux Olympiques, développement de la science, la philosophie, l'art, les temples
<tunique courte jusqu’au genoux, à deux ceintures
<chiton: tunique mixte couvre jusqu’à mi cuisse ou pied pr les hommes et long pour les femmes.Peut s’accompagner du pallium (manteau).
<l’himation: ample manteau drapés de diverses manières recouvrant la tunique
<fibule: attacher pour juxtaposer
<tunique en cuir à écailles métalliques, jambière et casque ou bonnet en cuir pour la cavalerie
<chlamyde, chlaène: manteau court et flottant attaché sur l’épaule droite;ou en laine attaché sous le cou
<peplos: tunique du dessus pr la maison; étroits ou large pour les mariées
<bouffant sous la poitrine servant de poche
<ceinture serrant la poitrine
<bande roulée (soutien gorge)
<cheveux longs, lanière en cuir pour l’homme,et chignon bas par des résille ou peignes,teinture,barbe
<bijoux, éventail, chapeau en paille sur un voile ou himation
<crépides (sandale en cuir de bœuf)
<les cothurnes (chaussures rehaussées par les acteur)
<a été influencé par l’Égypte, Crêtes, Mycènes, les commerces d’Europe
<a influencé la Rome (art, littérature) et la renaissance
<recherche du beau et la poésie et la sculpture importe.


Alexandre le Grand  ou Alexandre III de Macédoine signifiant en grec « protecteur de l’homme »), né le 21 juillet -356 à Pella, mort le 13 juin -323 à Babylone, est un roi de Macédoine et l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité.

La guerre de Troie est un conflit légendaire à l'historicité controversée, provoqué par l'enlèvement d'Hélène, reine de Sparte, par le prince troyen Pâris. En rétorsion, Ménélas, l'époux bafoué, lève avec son frère Agamemnon une expédition rassemblant la plupart des rois grecs, qui assiège Troie et remporte finalement la victoire. La guerre de Troie et ses conséquences formaient le sujet d'un vaste cycle épique, le « Cycle troyen », dont les œuvres sont aujourd'hui perdues à l'exception de l’Iliade et de l’Odyssée d'Homère. Elle représente une pierre fondatrice de la culture grecque et constitue encore une source d'inspiration pour les artistes et écrivains.

300 est un péplum américano-britannique réalisé par Zack Snyder et sorti en 2007. Tiré du roman graphique de Frank Miller, 300, il donne une vision fantastique de la bataille des Thermopyles en -480. Le film a été tourné en grande partie à l'aide de la technique d'incrustation afin de restituer l'imagerie de la bande dessinée de Frank Miller.

Les Mélophores littéralement « les porteurs de pommes »), également appelés les Immortels, sont un groupe de 10 000 combattants qui constituaient la garde personnelle des empereurs perses. Ce « corps d'élite » imaginé par Cyrus Le Grand, puis réinventé par Darius Ier, est notamment présent dans l'armée que lève Xerxès pour attaquer les cités du Ionan (alors sous domination Perse) qui formeront plus tard la Grèce, lors de la seconde guerre médique en 480 av. J.-C.1.

En Egypte antique?
En raison de chaleur, le blanc est privilégié ainsi que les fibres naturelles .Les étoffes sont brodées .L’Homme porte des perruques,des scandales ,en métal ou en végétaux ,se maquille .Des  formes géométriques sont moulées sur le corps .La peau de léopard est très fréquent,les bijoux,la ceinture est à la taille.

<vêtement léger, blanc, former d’un tissu rectangulaire
<teintures,étoffes brodées
<lin, coton, laine
<tunique simple,drapé exposant ou non les seins
<châle (shai) ,ceinture(shahs) soulignant la taille
<la qualité distingue le statut social
Bijoux, perruques, maquillages, les huiles.



La Momie (The Mummy) est un film fantastique et d'aventure américain sorti en 1999, écrit et réalisé par Stephen Sommers.
Le film présente des dialogues dans la langue de l'Égypte antique, parlée avec l'aide d'un professionnel en égyptologie. C'est une reprise intégrale d'un film de 1932 : La Momie (film, 1932). Initialement destiné à faire partie d'une série d'horreur à petit budget, le film a finalement été transformé en un film d'aventure. Le tournage a débuté à Marrakech, au Maroc le 4 mai 1998 et a duré dix-sept semaines. 


La Rome antique?
Le vêtement cache moins le corps .Il est cintrée et raccourci .La pagne et la toge apparaissent et évoluent en sinus et en pallium .La tunique prend le nom de colobium .La panuela est  une sorte de capuchon .Les chaussures se développent. Le vêtement permet de distinguer les classes sociales.

<recherches de matières, de couleurs, de formes nouvelles
<subligaculum: simple bande d'étoffe faisant office de cache sexe)
<Pagne: est une pièce de tissu ou de matière végétale tressée (ex : raphia), généralement rectangulaire, avec laquelle une personne se couvre les hanches jusqu'aux cuisses ou aux genoux, ou du nombril aux chevilles.
Il est généralement composé d'une seule pièce, ou d'une pièce et d'une ceinture.
<laine, lin, chanvre,cuir souple, dur, bouillie
<teinture rouge, indigo, jaune
<alun comme fixateur
<toge: plus grand que la chlamyde ou l’himation,morceau de laine,pliée en demi cercle sauf pr les prostituées,cintrée d’un coté,augmentant ac les conquêtes
<sinus: plis de la toge pr l’enfiler par la tête(blanc pr les ados et bordée d’une bande pourpre pr enfant et magistrats
< colobium: tunique sans manche comme le chiton ,pallium et himation, plus léger que la toge servant d'enveloppe
<paenula: pèlerine à capuchon,fermer devant,sombre
<caleçon long
<bonnet phrygien: symbole de liberté de sa parenté romaine avec le pileus (chapeau en latin).
<strophium (soutien gorge): petite bande d'étoffe qu'elles enroulent sous la poitrine pour soutenir les seins dans un but non pas esthétique mais tout à fait utilitaire
<stola:l ongue tunique a manche,à double ceinture
<palla: manteau drapé,agrafé servant de voile , une pièce d’étoffe rectangulaire qui couvrait la tête et le corps.
<mariée: manteau safran, résille rouge,voile cachant le visage,couronne de fleurs
<cheveux frisés
<épilation, parfum, bijoux, foulard, mouchoir, ombrelle
<la baxa, une sandale légère portée par les intellectuels 
<la carbatina, une chaussure de paysan fabriquée en une seule pièce de cuir 
<la caliga, chaussure des soldats
<le cothurnus et la crepida, utilisés par les acteurs.
< la pero, botte pour les travaux agricoles
 <le sandalium ou obstrigilium, est une sorte de mule sans talon. le phaecasium, chaussure blanche des prêtres orientaux les sculponae sont des sabots
< le soccus, pantoufle sans lanière pour l'intérieur portée par hommes et femmes
< La solea, pantoufle avec lanière

Jules César est un général, homme politique et écrivain romain, né à Rome le 12 ou le 13 juillet 100 av. J.-C. et mort le 15 mars 44 av. J.-C. (aux Ides de Mars).
Son destin exceptionnel marqua le monde romain et l'histoire universelle : ambitieux et brillant, il s’appuya sur le courant réformateur et démagogue pour son ascension politique ; stratège et tacticien habile, il repoussa les frontières romaines jusqu’au Rhin et à l’océan Atlantique en conquérant la Gaule, puis utilisa ses légions pour s’emparer du pouvoir. Il se fit nommer dictateur à vie, et fut assassiné peu après par une conspiration de sénateurs. Il fut divinisé et son fils adoptif Octave, vainqueur de Marc Antoine, acheva la réforme de la République romaine, qui laissa place au principat et à l’Empire romain.


Gladiator revisite le genre du péplum, dont le dernier film majeur était Spartacus, sorti en 1960. Il raconte l'ascension de l'ancien général romain Maximus Decimus (Russell Crowe), laissé pour mort par l'ambitieux empereur Commode (Joaquin Phoenix) et qui conquit la foule par ses talents dans l'arène du Colisée au cours des combats, car il devient gladiateur. 

Epoque gauloise?
Image sur deguisements-enfants.over-blog.com
La laine est privilégié  pour sa résistance et les peaux durant la guerre .Les motifs sont géométriques et teintés. Les boutons restent rare. Le corps disparaît dans le vêtement.

<braies(long caleçon)
<tunique et manteaux blanc pour religieux
<colobe (sans manche)
<cotte en maille de fer pour les guerriers
<bonnet, garde joue, protège nuque puis casque à cornes
<tunique large et plissée
<jupe longue et tunique courte
<tablier pour les classes inférieures
<châle à col roulé
<paenula ( sorte de pellerine à capuche assez longue), lacerna ( grand manteau circulaire), bardocuculus ( manteau à capuchon)
<pied nu, socque en bois ou liège


Astérix et Obélix contre César est un film franco-italo-allemand, réalisé par Claude Zidi et sorti en 1999.
Le film est la première adaptation en live de la bande dessinée Astérix écrite par Albert Uderzo et René Goscinny. Le film raconte l'enlèvement de Panoramix par les Romains pour assiéger le village des Gaulois. Astérix et Obélix partent donc à sa rescousse.
Après de nombreux films comiques, Claude Zidi se lance à la réalisation d'un film live sur Astérix. Le film a été premier du box-office français pour l'année 1999.


Vercingétorix (né aux environs de -802 sur le territoire des Arvernes, dans l'actuelle Auvergne, mort le 26 septembre -46 à Rome) est le fils du chef gaulois de la tribu des Arvernes, Celtillos. Il fédère la plupart des peuples gaulois et leurs chefs pour tenter de repousser l'envahisseur romain Jules César à la fin de la guerre des Gaules (-58 à -51). Vaincu à Alésia en -52, il est emprisonné, puis exécuté, six ans plus tard, à Rome, à la suite du triomphe de César.
Vercingétorix est l'un des premiers chefs ayant réussi à fédérer une partie importante des peuples gaulois, en montrant de réels talents militaires face à l'un des plus grands stratèges de son temps, Jules César.


L'époque Barbare?
(La recherche historique regroupe sous l’expression invasions barbares a lieu au iiie siècle (242, 253, 276)les mouvements migratoires des populations essentiellement germaniques,à partir de l’arrivée des Huns dans l’Est de l’Europe centrale aux environs de 375 jusqu’à celles des Lombards en Italie en 568 et des Slaves dans l'Empire romain d'Orient en 577)



L’ornementation est très important. Les vêtements sont portés dessus et dessous.
<bijoux, gants
<saie ( équivalent du pallium)
<tamisa
<maniais et gorgerin

Gorgerin sur arteide.unblog.fr

<gonelle: sorte de châle avec capuche dont le bout est très long
<juste au corps en toile
<casque dès 800
<chausse, cuirasse, broderies
<heaume: sorte de masque en métal pour chevalier
<stola, patagium, pallium
<entrelacs, perles, bouton géométrique

Costume de Conan le barbare sur golem13.fr.

Conan le Barbare ou Conan le Cimmérien est un personnage de fiction, dont la première nouvelle a été écrite par Robert E. Howard en 1932, et dont les histoires ont été initialement publiées au cours des années 1930 dans le pulp Weird Tales. C'est avec ces récits (et ceux de Kull, le roi barbare, trois ans auparavant) que Howard a donné naissance à la forme moderne du genre littéraire de l'heroic-fantasy.

L'Empire Byzantin?
(11 mai 330:Fondation de Constantinople- 29 mai 1453 Chute de Constantinople)

Le drapé est abandonné pour laissé se développer les broderies (vers 906),  les franges, les motifs orientaux . Ces derniers sont brodés pour la cour, aux couleurs vives, de perles et fils d’or et d’argent;Les vêtements sont composés de bijoux.  Les chaussures sont mixtes et en cuir.

<chlamyde, tunique
<cape romaine demi-circulaire
<robe à manches longues assyrienne
<calicule,braies moulante
<patafuri, miniakis
<dalmatique

L'époque Romane? (1030 à la moitié du xiie siècle)
Le vêtement est plus léger grâce à l’utilisation de soie, de laine et de toile.

<le drap, futaine, cendal, samit, mollequin
<bijoux en métal ou orfroi
<braies, chainse, chausses longues, manteau
<bliaud: longue tunique de dessus arrivant au mollet, en laine ou en lin épais, et souvent brodé aux extrémités.
<gipon: long corsage aux manches longues et très évasés.
<La guimpe est une chemisette sans manches, presque toujours à col, le col durera jusqu'en 1869
<cheveux long pour les femmes
<pigache, cordoue en cuir pour les riches

L'époque Gothique?( du XII au XV)

Le vêtement devient très long, prend de l’ampleur sur la tête et allonge le corps.

<fourrure, paillettes, perlages
<drap, soie, satin, broderies
<armoiries sur vêtement. Les armoiries, désignent « l’ensemble des signes, devises et ornements de l’écu d’un État, d’une famille, d’une communauté, d’une ville Elles représentent une marque d’identité pour quiconque les porte.
<chaussette 
<cotte hardie
<garde corps, pourpoint
<chaussures à la poulaine
<Jacquette plissées
<costume long réservé à la cour
<corset lacet,grand mantel
<Touret,résille,mentonnière
<hennin surcot moins porté
<La cotte hardie ou cottardie ce n'est qu'un surcot très ajusté avec une ceinture orfévrée.
<La houppelande est plus ou moins longue, elle a toujours des manches longues qui tombent souvent presque jusqu'au sol .


Image sur www.flickr.com.


La Renaissance Espagnole?
(la Renaissance couvre la quasi-totalité du xvie siècle.)
Sur www.cameline.org

Le vêtement devient très bouffant ,volumineux,rembourrés.  Le corset se développe,amincit la taille. La religion dicte l’attitude.Le costume masculin se militarise. Les bas s’allonge. La cape apparaît. Le tricot de soie se développe.

<corsages baleinés: cintré par plusieurs découpes, sans pointe, avec encolure,laissant apparaître les manches de la chemise
<La ropa: Robe de dessus espagnole qui s'ouvrait sur le devant et comportait un col droit et de grandes manches bouffantes dans le haut.
<Marotte: manteau mi long à manches rembourrées à l’épaule ouvert devant
<Attifet: bonnet en pointe sur le front ancien ornement de tête féminin, spécialement pour les veuves 
<vertugadin: morceau de tissu que les femmes mettent sous leur jupe pour la faire bouffer 
<conques:voile de tissu léger monté sur une armature en métal se dressant derrière la tête ou enveloppant le dos.
<collet: partie d'un vêtement qui est autour du cou. 
<chapines: haute semelles en liège,
<fraise: col bouffant
<cape espagnole
<hautes bottes de cuir
<rembourrage
<pourpoint C'est une sorte de veste courte et matelassée qui couvre le corps du cou à la ceinture. Il se porte avec des chausses et comporte un moyen de fixation pour les attacher dessus
<grègues:culotte bouffante porté par la cour. Sorte de grand haut- de chausses

La Renaissance Française?
Sur www.atelier-arachnee.fr
Les formes du corps sont exagérées,la taille est marquée par le corset,le baleinage.Vision moderne et retour aux sources antiques.Corps déformé et vêtement orné.Naissance du busc et bosse de polichinelle,casaque et saie.

<haut et bas de chausse
<panserons Le corset prit un aspect véritablement grotesque, il reçut les noms de panse, fausse panse, panserons. Moins serré à la taille, il était fortement busqué par le bas en avant, si bien que hommes et femmes ne paraissent distingués que s'ils ont gros ventre, que toutes les femmes semblent enceintes et que les ventres postiches sont parfois indispensables.

<pourpoint à manches bouffantes
<saie :espèce de manteau formé de deux pièces carrées, avec ou sans manches, percé d'une ouverture pour passer la tête, couvrant le dos et les épaules, et s'attachant sous le menton avec une agrafe en métal
<casaque: sorte de veste (jaquette)

<saie: Tenant lieu d'intermédiaire entre le manteau et la tunique, d'une forme tantôt proche de celle de la tunique, tantôt de la cape lorsqu'elle n'a pas de bras, elle est portée au dessus d'une tunique et ou d'un gilet de fourrure en hiver.
<bosse de polichinelle: Le pourpoint assez ajusté aux manches variées, se prolonge sur le ventre d'une bosse de polichinelle
<berne: sorte d'écharpe de grande dimension drapée et fixée sur l'épaule
<busc: Corps simple, à pique ou à baleine.
Camisole piquée comportant un buste (ou busc) fait de bois verni qui lui donnait toute sa rigidité. Son usage vient de l'influence de la mode espagnole.
<décolleté carré
<manchons:   partie de la manche habituellement décorée que l'on désignait par le terme paire de manchons.
<Cotte:chemise longue.

Epoque de Louis XIII ?
(Louis XIII dit le Juste, est le fils de Henri IV et de Marie de Médicis et le père de Louis XIV. Il règne du 14 mai 1610 au 14 mai 1643)

Apparition d’ornement léger sur le vêtement tel que les plumes, les rubans et des tissu léger.Vêtement assorties, en ensemble.Naissance des souliers à pont levis et bottes à revers épanouis. La ligne s’allonge.

Fichier:Charles I by Daniel Mytens.jpg
Charles Ier roi d'Angleterre (1625-1649) par Daniel Mytens.
Première période:1610-1624< époque clinquant 
Deuxième période:1625-1643<discret,bon goût

Masculin
<Chemise à toile fine
<col en entonnoir(fraise),en retonde(plat et horizontal),en rabat(sur le vêtement)
<rebras aux poignets assortis au col
<pourpoint au basques allongées et souples ,dont les manches sont tailladés ou découpées en bandes 
<haut de chausse allongés et terminés par des rubans 
<bas de soie ,fixées par une jarretière et protégés du cuir de la botte par des bas de bottes en draps 
<souliers à Pont-levis,ou bottes à revers « épanouis »
<cape flottante
<cheveux long et frisés
<petite barbe
<chapeau de feutre orné de plumes 
<gants
<baudrier: est à l'origine une bande d'étoffe ou de cuir, ceinte en écharpe, servant à porter un sabre, une épée, ou le ceinturon.
portant l’épée
<croate,cravate,foulard

Féminin

Les pièces du dessous sont les même que sous Henri IV
<chemise de toile fine,corps baleiné,corset
<vertugadin s’amincit et disparaît la ligne s’allonge
<la Secrète sous le vertugadin et chemise
<la friponne ou bas de jupe (étoffes riche et colorées,plus busc ou pièce d’estomac
<la modeste de couleur sombre ouverte devant et fermée par des rubans 
<Corsage :corps de jupe rattaché au bas de jupe
<col et poignets rabattus ou rebras
<souliers à talon haut
<chignon nattée « le rond » ou « cule butte »

Les Trois Mousquetaires est un roman d'Alexandre Dumas, initialement publié en feuilleton dans le journal Le Siècle de mars à juillet 1844. Il a été édité en volume dès 1844 aux éditions Baudry et réédité en 1846 chez J. B. Fellens et L. P. Dufour avec des illustrations de Vivant Beaucé.
Le roman raconte les aventures d'un Gascon désargenté de 18 ans, D'Artagnan, venu à Paris pour faire carrière dans le corps des mousquetaires. Il se lie d'amitié avec Athos, Porthos et Aramis, mousquetaires du roi Louis XIII. Ces quatre hommes vont s'opposer au premier ministre, le cardinal de Richelieu et à ses agents, dont le comte de Rochefort et la belle et mystérieuse Milady de Winter, pour sauver l'honneur de la reine de France Anne d'Autriche.


Epoque de Louis XIV?
(Louis XIV1 dit le Roi-Soleil règne du 14 mai 1643 au 1er septembre 1715)

Fichier:Louis XIV of France.jpg
Portrait de Louis XIV par Hyacinthe Rigaud (1701)
Apparition du boléro et rhingrave et ornements lourds.

1644-1661:jeunesse du roi
1661-1670:somptuosité
1670-1715:luxueux puis sombre
Masculin
<manches froncées ,manchette de dentelle
Et abus de canons(flots et rubans) et cordons 
<pourpoint raccourcit en boléro,laissant  voir la chemise 
<Le pantalon s’élargit

<Rhingrave :jupon porté en haut des chausses la rhingrave et le justaucorps était les vêtements favoris des hommes de la cour. La rhingrave se composait d'une petite jupe en forme de petit tonneau rigide sous lequel était fixé un haut de chausse bouffant
<Justaucorps:gilet à longue manche,remplace le pourpoint
<disparition du rhingrave
<bas montée et roulé avec la culotte
<perruque plus grande



Féminin

<boucle anglaise ou bouffon 
<mitaine
<engageantes:manchette de  dentelle en entonnoir
<corset s’ouvrant en triangle
<le tâtez-y:patte brodée et nœud 
<pretintailles ou Falbalas 
<ornements lourd 
<costume de guerre des mousquetaires,corset en métal

L’homme au masque de fer est l'un des prisonniers les plus fameux de l'histoire française. Le mystère entourant son existence, ainsi que les différents films et romans dont il a fait l'objet, n'ont cessé d'exciter les imaginations.

Epoque de Louis XV et La Régence? 
(1er septembre 1715 – 10 mai 1774)-La Régence (1715-1723) fait particulièrement référence à la période de régence instaurée à la mort de Louis XIV (1715) à cause du trop jeune âge de son héritier désigné : Louis XV, qui n’a que 5 ans et 9 mois.Cette période est marquée par la prise du pouvoir par Philippe, duc d’Orléans, prince du sang, au détriment du Louis-Auguste, duc du Maine fils légitimé du feu roi, ce qui entraîne une certaine agitation de Cour)

Le costume masculin est plus somptueux que le costume féminin, appelé des 1672, le deshabillé. Des usines à dentelles et rubans se créent. Extravagances des matières,des couleurs, et de la finesse de la taille.

<jupe à ampleurs relevé sur les cotés par des gros nœuds: jupe de dessus ou manteau
<Milieu XVII: le col est in grand mouchoir plié en diagonal attaché devant
<décolleté aux épaules
<manches aux poignets
<rubans aux coudes et poignets des hommes
<coiffure,chapeau
<perruques de 1kg
<col en guipure
<galon
<corps en baleine
<camisole
<pretintailles:ornement appliqué devant les robes
<passements(or et argent)
<panier:squelette du jupon
<brocart :large bande d’étoffes frangées bordées de soie
<rhingrave
<jupe culotte
<le baudrier
<échelles:superposition de noeuds et de rubans sur un corset très serré
<falbalas:volants d’étoffes plissées
<fontanges:coiffure à boucles,touffes et tortillons
<mortier:large toque galonnée d’or et de fourrure
<mante:grande cape avec capuchon et fente pour les bras
<gilet

Epoque Louis  XVI? (10 mai 1774 – 10 août 1792)

Développement des robes.
Sur www.costumes.org
Masculin 

<kimono: robe de chambres persiennes ou soieries à dessins
<cravate de bastite:gilet brodé
<ancien habit (justaucorps) manches à revers ouvert plus devant porté ac un gilet sans manches 
<culotte  de pantalon de plus en plus collante,bas fixés ac des jarretière à boucles
<culotte à bretelle plus haut que la ceinture:apparition de bretelles
<talon plat à boucle énorme
<tricorne ou chapeau à la suisse ac une pointe se relevant

Féminin

<pelisse:la pelisse était l’un des manteaux les plus à la mode pour l’extérieur. Elle avait une coupe ajustée suivant la même ligne que la robe, et elle était souvent en serge de soie souple appelée sarsenet
<ombrelle:Petit parasol portatif. 
<robe à panier:panier doubles et corps baleiné
<robe à la française:larges et garnitures de dentelles,rubans,chinoiserie,compères boutonnés
<robe à la polonaise:manche jabot,jupe  ouverte sur le jupon formée de trois pans
<robe à l’anglaise:ajusté au corsage,ample du bas,qui s’ouvre sur une jupe
<robe en redingote:s’ouvrant sur un jabot de dentelles,coupé à la taille ou longue et entrouverte
<robe à la lévite:à châle et à épaulette com un manteau,serré à la taille,ouvert sur une jupe
<caraco:corsage indépendant agrafé devant
<jupe ac rang de volant ou ceinture à boucle large

Maria Antonia Anna Josepha Joanna de Habsbourg-Lorraine (en français, Marie Antoinette Anne Josèphe Jeanne de Habsbourg-Lorraine), plus connue sous le nom de Marie-Antoinette d’Autriche (Vienne, 2 novembre 1755 – morte guillotinée à Paris, le 16 octobre 1793), était archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême, dauphine de France, reine de France et de Navarre (1774–1792), épouse de Louis XVI, roi de France. Elle était la sœur de Joseph II d’Autriche et de Léopold II d’Autriche. Elle fut surnommée « l’Autrichienne » dès son arrivée à la cour de France puis « Madame Déficit » et, plus tard, « Madame Véto ».

1°REVOLUTION 
(La Révolution française est la période de l'histoire de France comprise entre l'ouverture des États généraux en 1789 et, le coup d'État du 18 brumaire (9-10 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte. Il s'agit d'un moment crucial de l’histoire de France, puisqu'elle marque la fin de l'Ancien Régime, avec le passage à une monarchie constitutionnelle, puis à la Première République.)

Masculin

<toile de Jouy
<pantalon large à pont 
<carmagnole:veste courte 
<bonnet phrygien en bicorne
<sabots 
<redingote en drap doublée de rouge
Pour les élégants:
<frac:gilet plus haut devant 
<cane:sabre intégré
<parfum MUSC

Féminin
<ceinture ruban
<bijou en cuir et acier 
<pierrot: veste courte à petites basques 
<jupe plus courte pour le peuple
<antiquomanie:obsession des objets anciens l'anticomanie se traduit par des robes d'étoffes légères, inspirées des tuniques gréco-romaines, ainsi que par de charmantes coiffures bouclées retenues par des bandeaux. Cette passion pour l'antique, s'assortit d'une mise en vogue de l'Orient. Ainsi, les dames couvrent leurs robes de gaze de châles de Cachemire très coûteux, qui se portent à l'orientale, sur les bras ou en turban. Leur préciosité traduit le goût de luxe et de sensualité des élégantes de l'époque, ils sont signes de distinction sociale.
<robe à la drane (nylon gaze)
<jeux de plissées pas de poches(balantine,réticule)

2° DIRECTOIRE
(Le Directoire est la forme de gouvernement empruntée par la Première République française, du 26 octobre 1795 au 9 novembre 1799. Il tire son nom des cinq Directeurs chargés du pouvoir exécutif. Il est marqué par le rétablissement du suffrage censitaire.)

Les incroyables (paraître négligé excentrique).

<redingotes très courtes
<habit à grand gollet(paraître bossus)
<gigantesque cravate 
<culottes en velours ou nankin,coton,mal ajusté  laissant voir les genoux
<bas tire bouchonnés (comme dépourvus de mollets)
<coiffure en oreille de chien 
<grandes toilettes:habit à taille carrée à grand revers
<chapeau claque
<souliers pointus
Les merveilleuses (exagérer l’allure négligée,couleurs claires,chaires,pas de jupes,chemises resserrés)

<robe à la diane ou flore
<décolleté généreux
<cothurnes(chausse),sandale attachée au dessus de la cheville par des rubans entrecroisés ou des lanières garnies de perles

Epoque du Consulat - 1er Empire?
(Le Consulat est un régime politique français issu du coup d'État du 9 novembre 1799qui renverse le régime du Directoire (1795-1799). Le Consulat a duré jusqu'au 18 mai 1804, date de la fin de la Première République française et de la proclamation du Premier Empire.)

Sur dona-rodrigue.eklablog.com 
Renonce aux extravagances du directoire,recherche d’équilibre?Costume de cour et de ville.Remariage de Napoléon(marie-louise).Contre le corset.Silhouette plus naturelles,réapparition du linge

Féminin

<tailles ss les seins(grossesse)
<traîne
<mousseline( été);cachemire(hiver);tulles,dentelle,satin,velours(soiré)
<corsages courts,décolleté carré arrondie aux angles,ouverture au milieu devant
<fronces en rideau sur et ss les seins
<manche coûte ballon  complété par de grand gant ou mitaine ou en mameluck(6 rubans)
<tunique courte en pointe sur la robe
<canezou léger corsage mousseline jusqu la taille
<spencer:boléro pourvu de col et d’un revers
<shall:manteau de cour de couleur
<le chérusque:collerette de mousseline descendant en pointe dans le dos
<douillette:manteau long ouatiné
<coiffure à la Ninon(à l’arrière de la tête par un chignon et rubans)
<cornette(bonnet de lingerie attaché ss le menton)
<chapeau à la Pamela,Capote,toque,turban,diadème
<divorce:écarter les seinsLe corset réapparaît sous la forme d'une sorte de soutien-gorge, le "divorce" (car il avait pour fonction d'écarter les seins.), ou le "corset à la Ninon", qui rappelle le corps à baleines, mais plus souple.

masculin

<col aigues
<carrick:surchargeant la redingote par des collets
<emmanchure à bourrelets
<gilet à basque

Epoque de la Restauration?
(La Restauration est une période de l'histoire de France comprise entre la chute du Premier Empire le 6 avril 1814 et la révolution des Trois Glorieuses du 29 juillet 1830.)

Masculin

<pantalon chair pour monter à cheval
<chapeau haut de forme en soie
<le Dandynisme ( élégance, finesse, originalité, maigreur,jeunesse, se démarquer)

Féminin

<robe de ville non décolleté
<robe de bals plus courte
<manches garni de jockey (épaulette rondes  manche gigot à crevé)
<superposition de manches longues et courte
<canezou Corps de robe sans manches. 

Le Romantisme?
(le romantisme émerge dans les années 1820 en France comme un mouvement libéral et littéraire - Vers 1850, il n'y a plus de classiques.)

Masculin

<redingote raccourcie et cintrée
<cravate et faux cols
<chapeau haut en Forme inversé

Féminin

<crinoline et corset
<robe surchargée de garnitures

Le Second Empire?
( 2 décembre 1852 Proclamation du Second Empire, Louis-Napoléon Bonaparte devient Napoléon III- 4 septembre 1870: L'Assemblée proclame la déchéance de Napoléon III et l'établissement de la République. Formation d'un gouvernement provisoire.)

Uniformisation et simplification .Recherche du confort. Les coloris et formes limités. Costume en trois pièces.

bal1845
Sur www.atelier-arachnee.fr
Masculin (en trois pièces)
<redingote,veste croisée jusqu’au genoux,non ajusté;
Veston croisé court et sans basques (partie découpé et tombante) ;
La Jaquette(serré à la taille descendant  au genoux ac des pans arrondies);
 Le frac (court devant à la taille prolongé ds le dos ac deux basques)
<gilet comme un corset pour les corpulents
<pantalon à carreau selon la mode
<Cheveux plus court
<favoris(rouflaquette)barbe courte aux moustache pointues et relevées 
<chapeau claque:haut-de-forme qui s'aplatit et se relève à l'aide de ressorts

 Féminin 

<robe à crinoline
<évolution des paniers:Jupon garni de cercles d'osier qui rendait la jupe bouffante
<corsage ajustée au cou
<manche pagode et manche bouillonnée
<profond décolleté
<berthe(tissu plissé ou dentelle froncée)
<ombrelle marquise(manche articulée )
<bottine ,escarpins,

De 1870-1890?
Montre,traîne,smoking


<ombrelle
<traîne au fesse (Partie d'un vêtement long qui traîne à terre)
<chapeau à fleur penché
<drapé et broderie sur jupe
<la montre est partout

Masculin (sobre, puis ampleur)

<smoking:costume habillé ou de soirée pour hommes,ensemble assorti, constitué d'un veston ,d'un gilet et d'un pantalon. 
<pantalon et gilet de même couleur
<noir=soirée
<manteau long et large
<nœud papillon
<haut de forme et canne